Porte Maternelle - Cửa Mẫu (poème - thơ) - Mai Văn Phấn. Raduit du Vietnamien par Bùi Thị Hoàng Anh et Jean-Michel Maulpoix

Mai Văn Phấn

Traduit du Vietnamien

par Bùi Thị Hoàng Anh et Jean-Michel Maulpoix

 

 

 


Bùi Thị Hoàng Anh

                                                                                                                          

 


Jean-Michel Maulpoix

 




Porte Maternelle

 

 

I.

 

Mère me berce de clair de lune

De bruissements d’oiseaux, de cris d’animaux

Sa chair et sa peau se répandent au fond de la nuit obscure

D’où sourdent des grappes de nuages, des pluies de sources

 

Une branche tremble à fleur d’eau

Où un oiseau se pose

 

Seul, je vois cet oisillon loin du chemin

Loin du petit jardin, des autres nichées

Je traverse sans bruit le nimbe du soleil, au cœur de l’eau

En regardant le ciel qui peu à peu ouvre ses ailes

 

La cime élancée comme un bec d’oiseau

S’incline pour me donner sa becquée de vent

 

Le bruit d’une graine qui se brise dans la poitrine

Terrain désert et fruits verts

Traverse la forêt épaisse et profonde

 

Moi – nouveau-né sur la terre

Je nage jusqu’à ce bout de la rivière où le têtard perd sa queue

J’apprends à battre des ailes, évente le cœur du nid

Fais jaillir la pousse et m’envole librement au loin

 

Vapeurs d’eau, rive de rivière

Espace comble de temps confus

Faîte de fumée qui s’élève

Je me rends compte en m’immergeant dans cet océan de brouillard

 

Qu’il n’est pas de brouillard mais de pluie

Comme une haute tour d’eaux lumineuses

 

Souffles, muscles durs, feuilles bruissantes...

Un mort revient soudain entouré de fleurs écloses

 

Je frissonne à la source de la rivière

La surface de l’eau stagne là où ne déferlent pas les vagues

 

Une gorgée d’eau fraîche s’écoule lentement…

 

Et cela m’évoque la saison de grandes crues où l’eau envahissait les trous de grillons

Le gargouillis de bulles qui jaillissait à chaque fois

Me permettait de savoir où étaient leurs portes…

 

II

 

Pose l’enfant sur terre

Le cœur du fleuve a mal comme si l’on déchirait le corps de la nuit

 

La nature brille d’humidité

Le tronc des arbres s’épuise de fatigue à chaque nœud

L’eau violente et rapide

Coule plus vite

 

Je fonds en larmes en emportant les toiles d’araignées

Le cri rauque du héron de nuit

Les cendres luisantes

La lune tremble

 

Prenant un caillou pour dessiner sur la terre

Une rizière

Un petit veau désorienté

 

Je retrace la silhouette de ce veau qui se penche pour brouter

 

Dans une autre direction, je dessine un œil de plus

Œil des animaux ou des hommes

J’écris une ligne dans la case restante.

 

III

 

Une voix très proche

- Sous l’aube, va te purifier!

 

Fruits

Feu des lampes

Yin Yang bol d’eau

 

Comme en rampant à travers le crépuscule

Je m’extirpe peu à peu de l’ancienne peau

Et bois avidement des gorgées de rosée

 

Le tas de peaux mortes s’amoncelle

Déjà hors de portée

 

La troupe d’hommes fragiles s’entraide pour marcher

A la fin de l’aube.

 

IV

 

L'ombre des arbres se déchire sous mes pieds

Comme une carte en lambeaux?

Ou le cadavre d'un animal mi chauve-souris mi souris?

 

Je suis affolé en tressant les fils de fer

Je pose des chausse-trappes autour de moi

J'aiguise le couteau

Prépare une boîte d'allumettes

 

Plus l'horizon se rapproche 

Plus l'obscurité accélère

Plus rapide que les émotions

 

J'accumule encore en moi les anxiétés, les irritations

Bien que sur terre l'obscurité les ait toutes effacées.

 

V

 

En poursuivant une petite proie

Je m'élance par dessus les vagues puis m’égare

 

L'eau reflue

Dans un rêve matinal

 

Mon ossature souffre

Ma queue et ma nageoire dorsale sont engourdies

Il y a une main qui tire les mailles

Et qui me traîne

 

Ils se sont arrêtés pour se mettre à l'abri de la pluie

Soudain ils me libèrent

Au pied des vagues

 

Je reconnais la pluie

Le puissant tonnerre et le vent frais.

 

VI.

 

Père qui se force à se lever après une longue maladie se traîne vers la porte, s'immerge dans le cube de lumière

 

Tu t’efforces de montrer du doigt cette coccinelle sur ce feuillage-là dont tu dis que tu la vois pour la première fois

 

Je te raconte des histoires indifférentes pendant ton coma. L'histoire des larges nuages qui volent lentement au-dessus de chez nous. L'histoire du puits qui fait monter les vapeurs d'eau jusqu'aux fenêtres. L'histoire du cri de la pie qui conduit tout le monde à se pencher sur le bol d'herbes médicinales

 

Le corps du père ressemble à une rivière sèche, un bois sec, une graine creuse

Une lourde grappe de fruits se balance sous un vent fort

 

Père murmure soudain: conduis-moi me reposer

Le bruit d'une feuille morte glissant sur le toit nous fait fondre en larmes, père et moi.

 

VII

 

L'univers qui me recouvre d'une chemise noire

Ne me laisse que les yeux ouverts pour prier

 

En marmonnant des prières je pense toujours à

...la main blanche le sang noir la langue blanche les larmes noires le dos blanc le pavillon noir la boucle de cheveux blancs la sueur noire...

 

Quand l'obscurité qui envahit tout finira

Priez pour que soit sauvé le monde humain

 

Le phare...

Le fourneau brillant de feu...

 

Je regarde dans une direction quelconque

Comme en apprenant à regarder au tableau

A distinguer les couleurs

A épeler les lettres

C'est le carrefour blanc

La terre, la mer blanche

Le vieux, la chaise, la dame blanche

L'inspecteur, l'agriculteur en blanc...

 

En priant à haute voix, je me disperse en pensées désordonnées

…la langue blanche les larmes noires le dos blanc le pavillon noir la boucle de cheveux blancs…

 

VIII

 

Recroquevillé, je m’endors sous le vent froid

En rêvant de devenir un fœtus

Dont le cordon est relié au soleil

 

Je vole au-dessus des arbres

Mes yeux regardent en dessous les spasmes du vert

 

Chaque pousse de petits pieds, de petites mains

Jaillit dans le corps de Mère

Je me réveille

 

Là où commence le chemin

Le petit cheval se lève en tremblant

La troupe de vers sort du tronc en rampant

La menue crevette jaillit par dessus la gorge d’eau.

 

IX

 

le tambour le gong les huit armes

ouvrent la fête des génies

danser chanter au ciel

la communauté des Quatre mondes*

ouvre le cœur de la Mère de la Terre

que l’ambiance soit douce

que le temps soit clément

le délégué spécial du roi accorde une faveur

que ma dévotion soit appréciée

devant les quatre Mères

les Habits aux broderies sacrées

bon aller bon retour

bon vent aux voyageurs

le maquillage sacré

la cliquette garnie de sapèques**

les dragons sacrés dansent

cinq génies

agitent les mains

une moralité infaillible

les feux pétillants

caresser protéger

aimer l’ichneumon

le vers à soie tissant sa toile

la chemise le châle flottent au vent

l’alluvion déborde

le cœur de la rivière est envahi de vent

les melons jaunes les melons d’eau

les lotus les noix d’arec parfumés

les garçons et les filles entrent dans la récolte d’amour

où l'on fait une offrande de riz aromatisé

ils sont des nattes, des couvertures

ils sont des fleurs, des papillons

dont la figure pétille de joie

ils sont la terre, le ciel

les arbres, les herbes luxuriantes

la pluie qui tombe vite et subitement

...

 

_________________

* Quatre Mondes: Au Vietnam, le culte de la Mère (ou Déesse Mère) est interprété comme une croyance la plus répandue avec des influences considérables sur la vie spirituelle du peuple, notamment au Nord du pays, à côté du Bouddhisme. Dans cette croyance, le peuple vénère les Déesses (dont la Déesse Mère est associée à l’image de la Princesse Lieu Hanh) qui sont considérées comme le Symbole de la Création, de la Procréation, de la Protection, de la Bénédiction. En d’autres termes, l’image de la Mère est divinisée et idéalisée en tant que force supranaturelle susceptible d’apporter à tous les êtres humains et non-humains la vie et le bonheur qu’ils convoitent.

La vénération des Quatre Mondes s’interprète comme une pratique rituelle principale de cette croyance. Quatre Mondes se présentent les quatre coins de l’univers que gère chaque Mère avec ses puissances. Respectivement dans l’espace : le monde du Ciel est géré par la Mère du Ciel dont la puissance est suprême et qui porte une tenue rouge brodée ; le monde de la Forêt est géré par le Mère de la Forêt portant une tenue verte brodée ; le monde de l’Eau est géré par la Mère de l’Eau dont la tenue brodée est blanche ; le monde de la Terre est géré par la Mère de la Terre avec une tenue brodée jaune.

Dans tous les temples, les pagodes au Nord du Vietnam, à part d’un autel sacré du Bouddha, il y a toujours des autels sur lesquels, on pose sacrément les statues des Mères de Quatre Mondes. Cela affirme une grande importance indéniable de cette croyance au sein de la communauté.

 

** Cliquette garnie de sapèque (Sênh tiền). "Sênh tiền" est un instrument de musique traditionnel vietnamien. C’est un instrument de répercussion formé de trois barres de bois dur dont deux sont vissés des pièces de monnaie ancienne qui servent à créer des sons. L’instrument est utilisé dans toutes les formes de musique traditionnelle vietnamienne (rituels de Hầu đồng (un rituel du culte de la Mère); des chants religieux; des prestations à la cour; des airs de chansonniers aveugles…)


M.V.P

 

(Rút từ tập thơ Bầu trời không mái che)











Cửa
Mẫu

 

 

I

 

Mẫu nâng niu con ánh trăng

Tiếng chuyền cành, tiếng hú

Da thịt con yêu trải sâu đêm tối

Dựng tầng mây mưa nguồn

 

Cành cây la đà mặt nước

Một con chim vừa đậu

 

Chỉ mình con thấy chú chim nhỏ kia rất xa con đường

Xa mảnh vườn, những đàn chim khác

Con lặng lẽ đi qua vầng mặt trời đáy nước

Nhìn hướng bầu trời mở đôi cánh

 

Ngọn cây vươn mỏ con chim

Đang cúi xuống mớm vào miệng con từng hớp gió

 

Tiếng hạt vỡ trong ngực

Bãi trống và quả xanh

Qua rừng sâu tán lá rậm rạp

 

Con sơ sinh trên đất

Bơi qua sông con nòng nọc đứt đuôi

Tập vỗ cánh, quạt gió vào lòng tổ

Bật lá mầm bay đi thênh thang

 

Hơi nước bến sông

Không gian đặc thời gian nhầm lẫn

Ngọn khói lên cao

Biết mình bơi trong biển sương

 

Không phải sương mà đang mưa

Ngọn tháp cao sáng láng

 

Hơi thở, cơ bắp chắc, lá reo…

Người đã khuất bỗng về trong hoa nở

 

Con rùng mình một bến bờ

Mặt nước nghẹn nơi không sóng vỗ

 

Ngụm nước mát trôi chầm chậm…

 

Chợt nhớ mùa nước lớn ngập tràn hang dế

Lóc bóc tiếng bong bóng phun lên từng đợt

Cho con biết được đâu là cửa hang…

 

II

 

Đặt con lên đất

Lòng sông đau xé thân đêm

 

Thiên nhiên láng ướt

Thân cây rã rời từng đốt

Nước xiết

Chảy nhanh hơn

 

Con bật khóc cuốn đi lưới nhện

Tiếng con vạc khàn khàn

Tàn tro loé sáng

Mặt trăng run

 

Nhặt viên sỏi vẽ lên mặt đất

Một cánh đồng

Chú bê non ngơ ngác

 

Tô đậm nét chú bê cúi xuống gặm cỏ

 

Hướng khác vẽ thêm con mắt

Mắt muông thú hay mắt người

Viết dòng chữ vào ô trống còn lại.

 

III

 

Giọng nói rất gần

Dưới bình minh con hãy lột xác!

 

Hoa quả

Lửa đèn

Âm dương chén nước

 

Như trườn qua cơn chạng vạng

Rút dần cơ thể khỏi lớp vỏ bọc

Con hớp những giọt sương

 

Đống vỏ bọc xám xịt chất cao

Đã xa tầm tay với

 

Đoàn người dìu nhau bấy bớt

Cuối bình minh.

 

IV

 

Bóng cây oà vỡ dưới chân

Hình bản đồ rách nát?

Hay xác chết nửa dơi nửa chuột?

 

Con hốt hoảng đan lưới sắt

Đặt bàn chông quanh mình

Mài con dao

Thủ sẵn bao diêm

 

Chân trời càng gần

Bóng tối càng trôi khủng khiếp

Nhanh hơn cảm xúc

 

Con vẫn dồn lo âu, căm tức

Trên mặt đất bóng đêm đã xoá sạch.

 

V

 

Con đuổi theo con mồi nhỏ

Tung mình lên mặt sóng rồi mất hướng

 

Nước rút

Trong giấc mơ gần sáng

 

Xương cốt con đau

Đuôi và vây lưng tê cứng

Có bàn tay luồn những sợi dây

Kéo con lê lết

 

Họ đã dừng lại trú mưa

Bất ngờ phóng thích con

Gần chân sóng

 

Con biết ơn trận mưa

Sấm to và gió mát.

 

VI

 

Cha vừa gượng dậy sau trận ốm liệt, men dần ra cửa, lọt vào khối vuông ánh sáng

 

Người cố đưa ngón tay và bảo con cánh cam trên tán lá kia cha nhìn thấy lần đầu

 

Con kể những chuyện vô tình lúc cha hôn mê. Chuyện đám mây lớn thường bay chậm qua nhà mình. Chiếc giếng khơi dâng hơi nước lên cửa sổ. Chuyện tiếng con chim khách làm mọi người cùng nhìn bát thuốc

 

Cơ thể cha tựa sông cạn, củi khô, hạt lép

Chùm quả nặng đung đưa gió mạnh

 

Cha bỗng thều thào hãy dìu cha đi nghỉ

Tiếng lá khô trượt trên mái nhà làm cha và con cùng rơi nước mắt.

 

VII

 

Vũ trụ choàng áo đen lên con

Chỉ hở đôi mắt cầu nguyện

 

Lầm rầm con vẫn nghĩ

… bàn tay trắng máu đen lưỡi trắng nước mắt đen lưng trắng vành tai đen lọn tóc trắng mồ hôi đen…

 

Màu đen tràn lên mọi điều sẽ kết thúc

Hãy nguyện cầu cứu lấy nhân gian

 

Ngọn hải đăng…

Bếp sáng…

 

Nhìn hướng bất kỳ

Như tập nhìn lên bảng

Học cách phân màu

Đánh vần chữ cái

Đây ngã tư trắng

Mặt đất, mặt biển trắng

Cụ già, chiếc ghế, thiếu phụ trắng

Viên thanh tra, người nông dân màu trắng…

 

Miệng đọc to lòng còn tạp niệm

… lưỡi trắng nước mắt đen lưng trắng vành tai đen lọn tóc trắng…

 

VIII

 

Co quắp con ngủ trong gió lạnh

Mơ thành bào thai

Cuống nhau nối mặt trời

 

Bay trên tàng cây

Mắt nhìn xanh tiếng nấc

 

Từng chồi chân tay bé xíu

Bật nhẹ trong cơ thể Người

Con tỉnh giấc

 

Nơi ấy bắt đầu con đường

Chú ngựa con liêu xiêu đứng dậy

Đàn sâu bò khỏi thân cây

Con tép riu vọt lên họng nước.

 

IX

 

trống chiêng bát bửu

mở hội long đình  

múa hát cao xanh

công đồng tứ phủ

mở lòng đệ tứ

bao dung mắt nhìn

mưa thuận gió êm

khâm sai ân huệ

tâm thành kính lễ

tứ vị chầu bà

khăn gấm áo hoa

đi tươi về tốt

thuận buồm xuôi ngược

má phấn môi son

lá phách sênh tiền 

rồng thiêng bay lượn

năm toà quan lớn

phơ phất bàn tay

tài cao đức dày

long lanh ngọn lửa 

vuốt ve che chở

thương con tò vò

con tằm nhả tơ 

áo khăn lật phật

phù sa ôm ấp

lòng sông gió về

dưa gang dưa lê

sen cau ngan ngát

gái trai vào hạt

dẻo thơm ân cần

làm chiếu làm chăn

làm hoa làm bướm

mặt mày hơn hớn

làm đất làm trời

cây cỏ tốt tươi

mưa mau sầm sập




M.V.P

 












Ti
ểu sử Bùi Thị Hoàng Anh

 

Giảng viên tiếng Pháp tại khoa Ngôn ngữ và Văn hóa Pháp, trường Đại học Ngoại Ngữ, Đại học Quốc Gia Hà Nội. Say mê ngôn ngữ và văn hóa Pháp, hiện nay Bùi Thị Hoàng Anh đang làm nghiên cứu sinh tại khoa Ngôn ngữ, trường Đại học Paris VII, cộng hòa Pháp, với hướng nghiên cứu về các chỉ tố diễn ngôn trong các văn bản nói và viết bằng tiếng Việt và tiếng Pháp. Bùi Thị Hoàng Anh cũng quan tâm tới nghiên cứu về lĩnh vực Ngôn ngữ học xã hội và dịch thuật.

 

 

 

 

Biographie de Bui Thi Hoang Anh

 

Enseignante de français au Département de Langue et de Civilisation Françaises, Ecole Supérieure de Langues étrangères, Université Nationale de Hanoi. Passionnée par la langue et la culture françaises, actuellement, elle poursuit son doctorat en Linguistique à l’UFR de Linguistique, Université Paris Diderot (Paris VII), Paris, France. Son axe de recherche est centré sur l’étude des marqueurs discursifs du vietnamien et du français dans les corpus oraux et écrits. Elle s’intéresse également à la Sociolinguistique et la traduction.

 

 

 

 

Tiểu sử Jean-Michel Maulpoix

 

Jean-Michel Maulpoix là tác giả của hơn 20 công trình, chủ yếu là thơ văn xuôi, trong đó phải kể đến Une histoire de bleu (Câu chuyện về màu xanh); L’Ecrivain imaginaire (Nhà văn tưởng tượng); Domaine public Pas sur la neige (Bước chân trên tuyết). Bên cạnh đó, Jean-Michel Maulpoix cũng viết một số nghiên cứu phê bình về Henri Michaux, Jacques Réda, Paul Célan, René Char và một số tiểu luận khái quát về thơ như La poésie comme l’amour (Thơ ca như tình yêu); Du lyrisme (Thơ trữ tình). Sáng tác của Jean-Michel Maulpoix là sự pha trộn, là cuộc đối thoại không ngừng giữa văn xuôi và thơ, mà qua đó, nổi bật là chất “trữ tình phê phán”. Jean-Michel Maulpoix còn điều hành tạp chí Văn học hàng quý “Le nouveau Recueil” (Tuyển tập mới) và giảng dạy thơ hiện đại và đương đại tại Đại học Paris III, cộng hòa Pháp.

 

 

 

 

Biographie de Jean-Michel Maulpoix

 

Jean-Michel Maulpoix est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages, principalement en prose poétique, parmi lesquels Une histoire de bleu, L’Écrivain imaginaire, Domaine public et Pas sur la neige, publiés au Mercure de France. Il a également fait paraître des études critiques sur Henri Michaux, Jacques Réda, Paul Celan et René Char, ainsi que des essais généraux de poétique (La poésie comme l’amour, Du lyrisme...). Son oeuvre, où se mêlent, s’affrontent et dialoguent sans cesse prose et poésie, se réclame volontiers d’un “lyrisme critique“. Jean-Michel Maulpoix dirige par ailleurs la revue trimestrielle de littérature “Le Nouveau Recueil” et enseigne la poésie moderne et contemporaine à l’Université Paris III - Sorbonne nouvelle.

 

 

 

 







 

BÀI KHÁC

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